« Une vie divine » dans la pub
Le vent, toujours le vent, depuis une semaine, l’assommant et violent vent du nord venant de là-haut. [...] Le vent empêche de penser, c’est l’ennemi du cerveau, son lavage à sec. Plein vent, tête vide. Un oiseau doit savoir ça, mais, lui, ça ne le dérange pas. Moi, si. Et Ludi, qui se déshabille vite, s’offre, n’en pense pas moins [...] se baigne, l’excite, boude, disparaît [...] revient, se déhabille, le viole, fait la tête... Une vie divine, Sollers. Sacré par la presse Autres extraits |