" Il ne s’agit plus désormais de savoir si la poésie est "admissible" ou "inadmissible", si elle participe ou non de l’ "impossible", elle est, qu’on le veuille ou non, une fois pour toutes et par essence, de tous les possibles dévoilés.
De ce chemin (Le pontos : non tracé d’avance, ni foulé régulièrement et qui peut varier avec celui qui le parcourt), on comprendra qu’il se trace biographiquement à Paris, comme champ, chance infinie des possibles, sur-le-champ "historial" du français. "
Marcelin Pleynet, Le Pontos, 2002.