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Sprezzatura et ses auteurs (Episode 2)

L’intégrale

D 31 décembre 2009     A par Viktor Kirtov - C 3 messages Version imprimable de cet article Version imprimable    ................... PARTAGER . facebook


Poursuite de la campagne Sprezzatura dans ses « Guerres irrégulières » avec deux ou trois questions plus ou moins régulières à chacun de ses auteurs.(cf. épisode 1)

complété le 31/12/09

CI-DESSOUS : LIENS SUR LES CHAPITRES CORRESPONDANTS :

Pierre DULIEU rend grâce

(Gloria)

Alexandre GAMBLER aspirant "honorable correspondant"

(Lettre publique aux directeurs des services de renseignement de la république de France)

Luc GUEGAN le sabre et le goupillon

(Stratégies évangéliques)

Jean-Hugues LARCHÉ le troisième oeil

(Noblesse de la guerre, Nietzsche en stratège)

Sandrick LE MAGUER ne s’en remet pas qu’à Marie

(La naissance de la stratégie)

Stéphane MARIE "je suis moi-même la guerre"

(Le point vif)

Le théâtre d’opérations de Métie NAVAJO

(Guérilla opéradique)


Nota : Titrage des pages pileface par Pileface.
Les titres des articles des auteurs de Sprezzatura sont en italique et entre parenthèses.


Retour vers épisode 1

*
Gloria
Stratégies évangéliques
La naissance de la stratégie
Lettre pubique aux directeurs des services de renseignement... Noblesse de la guerre, Nietzsche en stratège
Guérilla opéradique Le point vif

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3 Messages

  • V.K. | 20 janvier 2010 - 13:29 1

    Et aussi cette référence à la sprezzatura, chez Sollers, dans Liberté du XVIIIe siècle - Les surprises de Fragonard, Folio p. 28) :

    [ ...] Les portraits de l’abbé de Saint non ou M. de la Bretèche sont aussi des autoportraits, bien entendu [....] Une écriture ancienne, peut-être la sienne, dit à l’envers des toiles : "Portrait peint par Fragonard en 1769, en une heure de temps." [...] Que peut penser un Français ? Comment se déplace t-il dans la pensée ? Deux apparitions, je crois, nous le disent : le Diderot de Fragonard, le Mallarmé de Manet. Deux expérimentateurs du cogito captés en pleine maturité, en pleine subversion oblique, par un pinceau exactement symétrique et témoin (la réciproque n’est pas vraie). Le Castiglione de Raphaël peut alors dialoguer avec ces deux figures complexes, animées d’une désinvolture en abîme, de la sprezzatura, qui les rend insaisissables, "mes pensées, ce sont mes catins", "tel qu’en lui-même enfin l’éternité le change."

    Viktor Kirtov


  • anonyme | 20 janvier 2010 - 11:27 2

    « Le dégagement rêvé du corps » — la sprezzatura comme l’italien sait le dire — donne dans la foulée sur un « brisement de la grâce croisée de violence nouvelle ».

    Ph. Sollers, Illuminations, folio, p. 105.


  • DJonysos | 6 janvier 2010 - 22:55 3

    « Cette autre pensée, d’après moi, ne va pas sans désinvolture, sans ce que les Italiens nomment "sprezzatura". Ni non plus sans ce que les Français nomment l’ironie. »

    Discours Parfait, p.779 (La mutation du divin)

    Voir en ligne : http://uneverandadenietzsche.blogsp...