Que ceux qui pensent que la mode se réduit à une frivolité de mauvais aloi face aux questions sérieuses, aux falbalas d’un luxe déplacé en temps de crise et à des affaires de gros sous sautent cette chronique. Car rien n’est parfois plus profond que la surface. Surtout lorsque entrent en jeu l’art, la beauté, la passion vécue à la vie à la mort dans la sincérité la plus totale. La chronique de Cécile Guilbert.