Les biographies sont dangereuses. Même médiocres, même mal renseignées, elles aimantent et captivent. Le Sylvia Bataille d’Angie David (Ed. Léo Scheer) rallume une flamme sur un autel laissé dans l’obscurité depuis longtemps, et c’est là son premier mérite. Sur la couverture du livre, S.B. joue les Marilyn de calendrier, exhibant une poitrine nue... telerama.fr.


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