« Enlevé, brillant, rapide, bourré d’ellipses et de raccourcis, de coq-à-l’âne et de tête-à-queue, le vif essai que Michel Crépu consacre à François-René de Chateaubriand (1768-1848) enfonce tous les pavés indigestes de la rentrée littéraire. » Cf. Cécile Guilbert, Le Monde des Livres (pdf)
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