- Jehan Froissart
« Ah oui, mon nom de guerre... Mon pseudo de fax... Eh bien, Froissart. Comme le chroniqueur médiéval, en changeant simplement Jean et Pierre. Tiens, il est de Valenciennes, lui aussi, comme Watteau et Carpeaux... »
Philippe Sollers, La Fête à Venise, Gallimard, 1991, p.44.