J’ai publié de nombreux articles et des entretiens, depuis ma découverte à la fin des années 70 de son premier recueil poétique : Provisoires amants des nègres (Seuil, 1962) sur et avec Marcelin Pleynet. Tous ses livres (poésie/essais sur la peinture/journal/romans) signent une odyssée du nom propre sous l’éclairage d’une pensée en alerte et de sensations vécues. Ils tiennent la poésie en éveil dans la radicalité d’un retrait qui prend sa source, notamment, chez Rimbaud et Lautréamont. Recours au poème.