Les correspondances d’artistes sont nombreuses et souvent passionnantes mais il n’est pas si fréquent qu’elles nous parviennent complètes et « croisées ». C’est ici le cas : le souci qu’eurent Auguste Rodin et Antoine Bourdelle de leur postérité, la création de leur musée et l’organisation posthume de leurs archives grâce à de pieux gardiens (institutionnels ou familiaux) nous valent l’ensemble des lettres et documents échangés par les deux sculpteurs de 1893 à 1912. La Tribune de l’Art.
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