« Pendant quarante-cinq jours, Dominique Strauss-Kahn a passé aux yeux du monde entier pour un King Kong lubrique. On le voyait bondir de sa baignoire pour violer à coups de griffes une jeune fille modeste et pieuse, venue à New York City fuir la misère de sa lointaine Guinée. Exit le FMI, adieu la présidentielle : DSK n ?était plus qu ?un pauvre homme maintenu à bout de bras par son admirable épouse Anne Sinclair. » revuedesdeuxmondes.fr/
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