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Le Pays où tout est permis de Sophie Podolski

le manuscrit, l’édition typographiée, les dessins

D 20 septembre 2009     A par Albert Gauvin - C 2 messages Version imprimable de cet article Version imprimable    ................... PARTAGER . facebook


« Les cheveux du soleil sont nos mains aussi.
L’écriture pompiérise tout signe alarme continue.
Lettre à tous les mondes. Vous êtes tous des cons - ou bien vous êtes pas défoncés ou vous flipez comme des cons - parce que c’est ici une planète de cons qu’on comprendra jamais et on y comprend rien à rien. »

« RENDEZ LES COULEURS — LES VOYAGES QUE VOUS AVEZ PRIS !
Ils veulent que je prenne le temps de CREVER — Donc je suis une crevure noble — pas un épistolaire du siècle
rue de l’ancienne comédie... »

Sophie Podolski,
Le Pays où tout est permis, 1973
(premières lignes et derniers mots).

Sophie Podolski
Crédit photo : theorita und praxis

Dans son numéro de l’été 2009, l’excellente revue luna park , animée par Marc Dachy, publie un curieux portrait de Philippe Sollers dessiné par Sophie Podolski en novembre 1972 ainsi qu’une lettre manuscrite adressée à l’écrivain [1].
Sophie Podolski est une poétesse et graphiste belge née en 1953 (le 8 octobre [2]). Elle quitte famille et lycée pour faire des études de gravure à l’Académie de Boisfort. Elle vit quelque temps rue de l’Aurore à Bruxelles, au sein du Montfaucon Research Center, collectif de création dont elle est un des membres fondateurs avec Alberto Raposo, Pidwell Tavares et Joëlle de la Casnière. Elle subit de brefs internements psychiatriques à Bruxelles et à Paris, écrit Le Pays où tout est permis et laisse de nombreux dessins [3].
C’est en 1972 que paraît Le Pays où tout est permis, "prose poème journal graphié, dansé, chanté". PROÈME. En 1973, Philippe Sollers en publie de larges extraits dans la revue Tel Quel, en reproduisant le manuscrit dans sa graphie singulière, puis fait la préface, intitulée "BIOLOGIE", de l’édition typographiée publiée au éditions Belfond [4].
Sophie Podolski se suicide le 23 décembre 1974 à Bruxelles. Elle a vingt et un an.
La revue luna park publie en 1980 un inédit, Snow QueenReine des neiges — (édition établie par Marc Dachy).


Sophie Podolski

Lettre à Philippe Sollers

Bruxelles

Le 29 novembre 1972

phillip Solers,

Je vous jette des grands signes de loin en patin a roulettes. toute petite verte glissant sur le plafond en criant il flotte le monde etc... arrivée à côté de vous vous me racontez l’étrange aventure. nous décidons d’aller la trouver dans la crique ou elle se repose de la magnifiquence de ses derniers trajets. nous rions tous aspiré par la gluante fraîcheur du fumier orduriel. (haletera un long spasme qui nous donne le sommeil). une nourrice explique notre oubli en carré noir. l’éttouffement soudain s’empare de la gorge et nous maintient siddéré sur un thème de magie noire où il y a victoire. Je ne crois pas que demain il faudra acheter ou ne pas acheter du pain ou autre chose. heu... c’est équivoque ceux qui parle du savoir savent connaître le savoir comme une methode énergique motrice. Je suis un merle parleur. je suis une flaque d’huile. Je suis un enfant assis par terre qui attend une recompense. tu as vu des cerveaux les uns dans les autres. c’est vrai qu’ils crient ? l’escadron déboutonné des chats sur l’échelle se rendent chez moi. nous irons à la chorale des chameaux bouddhistes qui se rendent sur le bateau des naufragés de la névrose des blancs dégénérés. (nous ne sommes jamais que les assistants du vide). Je veux voir que nous sommes aucun mais au moins nous sommes deux chacun dans la ligne qui nous rejoint en nous internant deux dans chacun aussi Bien qu’autant deux dans aucun

AMICALEMENT

Sophie
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Cette lettre était accompagnée d’un portrait de Philippe Sollers.

par Sophie Podolski Manet, <i>Lola de Valence</i>, 1862.

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Le Pays où tout est permis

Sollers parle du Pays où tout est permis.
Un extrait audio de l’émission « Italiques », diffusée le 16 novembre 1970 sur la 2ème Chaîne. Philippe Sollers, fondateur de la revue Tel Quel, répond aux questions de Marc Ullmann, journaliste.

GIF

Le manuscrit

Publiées dans les numéros 53 (printemps 1973) et 55 (automne 1973) de la revue Tel Quel, voici les premières pages du livre de Sophie Podolski.

Elles étaient présentées par ces quelques mots :

« Sophie Podolski est née en 1953. Cette date permet de mesurer la rapidité avec laquelle un certain bouleversement est en cours. Et en guise d’avertissement pour ceux qui croient qu’écrire ne vient pas d’abord d’une certaine façon de vivre. » Ph. S.

Manet, <i>Lola de Valence</i>, 1862. : cliquer sur l’image

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L’édition de 1973

« j’ai la manie dans mes rêves d’ouvrir des fenêtres voilà pourquoi j’aime ce livre qui n’est pas un livre »

Ph. Sollers

Feuilletez le livre


BIOLOGIE

La préface de Philippe Sollers [5]

L’expression prendre son pied est récente principe de versification tourné à l’envers je voudrais souligner que l’événement sur la page n’arrive jamais isolé reste à fond dans son ombre un arbre ne doit pas cacher la forêt les paroles dit artaud sont un limon qu’on n’éclaire pas du côté de l’être mais du côté de son agonie et encore on ne reproche pas à un écrivain un mot obscène parce qu’obscène on le lui reproche s’il est gratuit je veux dire plat et sans gris-gris et encore je ne supporterai pas éternellement que la sexualité universelle me carapace et me draine de la tête aux pieds voilà c’est tout à fait clair maintenant aucun vagin cuit recousu aucune fesse entrecul ne pourra barrer nos naissances donc elle dit la vie est castrante la mort décastrante formules condensées le rythme pense tout seul souffrance et encore souffrance
ne prenez pas votre air amateur du menu folie pour les autres ça part de l’intenable ça y reviendra quelqu’un qui a mal au-delà du mal qui jouit par-delà le joui est facilement aujourd’hui l’objet d’un encadrement nouveau style profs journaux éditeurs maquereaux politiques fils de zofs sourds muets amputés en tous genres c’est qu’on en a marre écrit-elle encore marre marre d’habiter sur quelque chose de pourri et non seulement archi-pourri mais en plus sphérique amusante cette prétention théorique de broder à côté d’la pratique la pensée pour eux ne ressemble pas au tonnerre finalement ils gardent leurs intonations d’autrefois on voit bien tout de suite ceux qui parmi eux vont renaître rendez-vous au prochain cycle bonsoir elle dit aussi je vois dans mon cerveau et pas ailleurs même si ailleurs il y a j ’en ai marre marre des cons des culs des bites des couilles marre marre pensez-y des culs des bites des couilles marre marre pensez-y quand vous f’rez vos petites cochonneries du jour dans la nuit le tout écrit-elle encore est de savoir comment un poème inachevé peut-il achever un poème inachevé pour justement être un poète cette glace ne se prend pas dans la main le vice d’écrire au service du vice libre vice au service de la liberté vous ne croyez pas vraiment que la vérité va se dire en clair tout de même ceux qui le prétendent sont employés par la reproduction sans raison l’espèce peut en devenir élastique après tout le cercueil est à peine plus grand qu’un étron j’ai la manie dans mes rêves d’ouvrir des fenêtres voilà pourquoi j’aime ce livre qui n’est pas un livre quelques débiles croyant en majorité qu’il y a des livres ou encore que leur tête existe mais la faux passe est passée repasse chaque phrase aiguisée courbe tranchée la méthode consiste à ne jamais être d’un seul coup lucide oui exactement comme si on avait plusieurs vies d’un cynisme absolu un système d’auto-régulation crache ton venin et autres conseils d’urgence parce que voyez-vous il est temps drôlement temps dans le temps de sauter à côté mais oui juste à côté de vous-mêmes je ne veux plus voir personne assis couché debout comme autrefois dans la loi nous n’avons jamais été des écrivains et pas non plus le contraire la musique dit beethoven est une révélation qui dépasse toute sagesse et toute philosophie de nouveau je vois la cour jaune

philippe sollers

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Les premières pages

Ces pages correspondent aux pages manuscrites publiées dans Tel Quel n° 53 et présentées plus haut.

Les cheveux du soleil sont nos mains aussi.
L’écriture pompiérise tout signe alarme continue.
Lettre à tous les mondes. Vous êtes tous des cons - ou bien vous êtes pas défoncés ou vous flipez comme des cons - parce que c’est ici une planète de cons qu’on comprendra jamais et on y comprend rien à rien. Est-elle femme ou démon. Est-ce démon ou femme - le suicide (développement) philosophiquement jamais étudié - pensez à dialoguer en vue de synthèses (perspective vraie ou fausse) ce que la parole avec la pensée n’a rien à voir avec notre organisme d’aucun autre fonctionnement de notre connaissance. La parole est une hystérie qui relève de la frustration qui par ailleurs la compense. Vous êtes si loin. Soyez sage - planant - à bientôt - l’herbe est dans le tiroir - il faut que vous sachiez rude- ment bien ce qu’il va advenir de vous pour que vous soyez si peu sûr de vous ?

On lui avait demandé d’ajourner la totalité des routines des postiers - on a vu qu’il était à l’acid - on le lui demandait il prenait des mines effrayées et grotesques mais il se dédoublait de son bourreau lentement la persévérance lui a appris à s’interdire de faire des fautes d’orthographe - on l’a vu se dire qu’il allait beugler - il

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a pris son pied à la lettre. Nous rejoignons les rails du train avec les fils télégraphiques - quand on commence à maigrir la fumée s’évapore en vitesse - 50 pages de dynamo 13. Lorsque passe le plaisir le respect doute de lui - le plaisir prend sa forme - donc la chose plastique s’y fait ainsi que la chose acide permet de rôder l’acidité de la vie plastiquement. Et que nous - les bons et les justes nous nous sommes fait tant de mal que nous sommes ensemble loin au-delà de la douleur - les effilochés perdus accrochés aux filaments du désespoir - le corset prude dégringole des saules pleureurs. Le répondeur lui annonce sa bête défaite - le jambon danse encore - bientôt la péniche shilum dépourvue de ville pourrira Doctor Ship dans ta valisette il n’y avait pas que des chaussettes sales. Dans la Kasba Noisette promenait le sèche - cheveux tandis que les veuves noires qui parfois portaient du grenat s’affairaient autour d’un aspirateur pour en défaire les noeuds - tes mecs se disputaient pour quelques plaquettes d’opium concassées. Il voulait dormir dans le vestibule - sur le palier - dans le lavabo pour y faire couler le sang de tout le visage ôté du masque abondamment - tranquillement de bonnes mains ont délacé ses bottines les ont mises au fridge dans le compartiment des glaçons - alors tu le bouffes ! zap - ada matepé elasdas matelas épidas pédérastique. Ils se promènent main au cul galerie de la reine - le petit bonhomme barbu, grincheux, touffu, hirsute, verdâtre, en gros velours, une petite caisse de violon grisaillante sous le bras - les attendait sous la dernière colonne - il leur joua « Pleurs d’amour » de J. Hendrix - puis brusquement son violon s’est changé en bicyclette combiné avec une mitraillette. Dans les structures des lits et des parcs tout en barreaux émaillés blancs avec l’aide desquels les petites filles se

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branlent et dans la cave sur le foin les chiens les lèchent assoiffés et tout ne leur est qu’agréable. Monsieur le chefffff de gare je suis le fantôme je vais vers le soleil car le paradis est au creux de ma main allez tremper vos dînettes ma chère - strophons-nous l’amirale - tantôt les choux à la crème sous l’armoire appelleront à l’aide - hep TAXI ! toi Taxie pourrie tu ne cesseras donc jamais d’assassiner nos Suzies des icesrooms - car il était humble. Combien avaient vu avant que ses yeux ne voient - je t’en beurre une longue sous l’ombrage de la fougère. Mais il fout que je m’en aille de ces pagailles ces bafouillages. Et puis tout à coup on se sent traumatisé par quelqu’un qui est là à côté de vous depuis quelques jours sans que la remarque soit dans les esprits présents - tu veux des sous pour prendre un tram - j’en veux pour acheter une crème glacée. HAHA nous sommes essentiellement lactiste - nous aimons notre chemin et si le chien du berger est fou cela ne fait qu’augmenter notre plaisir. EXIT - on ne peut s’en aller de chez les plaisanciers qu’il y ait balcons et terrasses - qu’il ne faut ni laisser déborder les cendriers ni laisser les ampoules mortes sévir tout comme vous ne jetterez pas les fauteuils ni les armoires par les fenêtres - les bretelles rangées ne seront plus mélangées avec les cinglés - car la seule vie est une vie d’amour.
Défoncez-vous les uns les autres - il n’est pas nécessaire d’avoir un jus de citron pur avec de la glace et du sucre et un joint académique avec un long filtre arôme mentholé - défoncez-vous la gueule les uns les autres il n’est pas besoin de cachette ni de flipage collectif - deux lèvres comme deux filets d’une matière plastique quelconque - de même pour le dito -le chat hérissé comme une angoisse encombrante - tu ne fumes pas le joint avec moi - je suis là - je suis là pas ici. Les figues se mangent fraîches aussi

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figues et dattes - cerises - sinon les voleurs tuent les gendarmes - ils mangent du cheval - et ne parlent jamais - ne disent pas un mot - du mythe au folklore ils passaient à la légende de l’avion au tapis volant - au train - ils préféraient le rythme - la guerre d’Israël vous souhaite bonne année - MAO est jeune déjà AGE il est le plus fort - la Chine avance - 0 l’a dit - la télévision en couleurs le dit en toutes les couleurs - quelques phrases se marmonnent en noir et en blanc - dans tous cas ils n’aiment pas ce qu’ils disent ces gens-là. L’épingle de soleil savait que quand la lune est pleine de l’autre côté elle est noire - les petits monstres de rapidité grandiosement superbes sont verts translucides - transe-LUCIDE - ils ont les yeux verts scintillants ils emmènent avec eux des avoués - j’en suis persuadé - il est parano - il aime qu’on l’encule souvent - ça lui rappelle son père - il a le cortex solide - mais ses guiboles se fatiguent - car un marcheur - ses jambes de coton - les muscles de ses mollets tirés lui font mal il le sent - sa vie sera courte car il se souviendra - il aura écrit - beaucoup ri - pris son pied dans des crises de danse - de fumette - de gueulades - de dégueudade - il écrira encore - il est prisonnier - il n’aime pas écrire - il dessine souvent - il se ballade comme un seigneur - il plane - ça il plane bien. Ce que les gens écrivent - ils le savent - on leur a enseigné comment l’écrire - de toutes les manières - ça pue. Il a perdu qui perd gagne - l’espace n’a plus de valeur - pourtant on m’a enseigné tant de valeurs que j’ai dû en retenir qui avait un rapport avec l’espace - mais le temps l’a emporté - dans l’espace - ex passe - couloir - il y a gens qui touchent tout c’est bizarre - dans l’espace - temps. Moi j’aime les philosophes qui aiment les soft-machines - les machines molles - les crèmes glacées - quoi ! du SPEED dans cet acid - crimez-nous

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ces engins - la barrière de bambou va céder sa crise de phosphorescence - le noir ? joueur de bangos va s’en aller coucher les palmiers - donner les palmes à manger aux oisillons exotiques aux couleurs rares comme la télé en couleurs pour daltoniens. Il y a du vert tout le temps et on peut changer le bleu au rouge et le rouge au bleu en passant par tous les oranges fluorescents quelquefois il y a des flashs de jaunes acides. Qu’est-ce-qu’ils disaient ces gens méchants elle s’appelait Chantal - vous comprenez pourquoi - non il n’y a pas de coca cola ici - vous avez mis le frigidaire dans votre bête sandwich dans lequel il y avait des poils de chats dans une tache de sang - et chaque fois que j’ouvre une allumette ronde en papier très fin fort comprimé trempé dans la cire je m’attends à voir une petite écriture qui me laisse lire : « Je travaille depuis cinquante ans dans la fabrique de ces pochettes d’allumettes.
Ça réage toujours
F L I P ..................- dessus - schizer ici
faut pas freaker là
tous les soldats ne sont ni courageux - ni fiers - ni guerriers téméraires - quelques-uns sont téméraires - tous sont crétins. Ils auraient voulu connaître la petite guerre ils sont déçus - puis les insectes à regarder - c’est gai - c’est vrai que vous êtes peinards - et puis les cyclothymiques on leur donne ou des barbituriques ou des calmants type librium - ou des amphétamines vitaminées type captagon - ou alors les deux en même temps. Il est mythomane il a ses cahiers dans son bureau - ses dossiers sont soigneusement rangés dans des tiroirs d’ébène - les deux dossiers posés sur le tapis vert portent titres : le premier « ma mythomanie » - l’autre (plus petit et plus grand que la largeur de son épaisseur). La chaussure que

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26 dessins de l’édition de 1973

Diaporama... (cliquer sur la 1ere image)
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LIRE : Denis St-Amand, Sophie Podolski, maudite petite Belge pdf .

LE LIVRE


[1Au sommaire de ce numéro :
Olivier Micha, Elisabeth Ou
Emmanuel Moses, On dit
Ivan Alechine, Au bal des papillons
Eugène Savitzkaya, Peuples périssables
Sophie Podolski, Portrait de la fragilité de Philippe Sollers et Lettre à Philippe Sollers
Marc Dachy, Un théâtre sans théâtre
Alain Arias-Misson, De Joan Brossa au Poème public
Marc Audí, Joan Brossa et la poésie-action
Joan Brossa, Actions spectacles en trois parties. Strip-tease et théâtre irrégulier
Alain Arias-Misson, Palabras fragiles. Duo du Chat et de la Souris à Manhattan
Ignacio Gómez de Liaño, Rencontres avec Dalí
Marc Dachy, « La vie est une invention extraordinaire »
Eddie Breuil, Julius Heuberger, l’imprimeur anarchiste de Dada
David Lefranc, 13/05/21 Dada juge Barrès
Alain Jouffroy, Jacques Villeglé une victoire à contre-courant
E. E. Cummings, eimi Mar 26 mai
Chroniques. Paul Laborde, La lettre et l’évènement - Yannick Haenel et François Meyronnis au coeur de la Spirale. Marc Dachy, Traduire en France : Schwitters, Sterne, Mandelstam, Tanizaki.
Laura Revelli Beaumont, Autobiographie de Téo Ung
Au fil du réseau

Luna-Park, 224 pages, 19 euros

Un texte de Marc Dachy — Poussière d’or (Notes de Kyöto, Villa Kujoyama, juin-décembre 2000) — a été publié dans le numéro 105 de L’Infini (hiver 2008).

Par ailleurs, Marc Dachy s’entretenait avec Francesca Isidori sur France Culture le 12 septembre 2009.

[2« Lundi 8 octobre (jour de mon anniversaire) », écrit-elle dans Le Pays où tout est permis, Belfond, p. 72.

[4Une nouvelle édition sortira en 1979 chez Transédition.

[5Contemporaine de la publication de son roman sans ponctuation H.

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