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Dante, bienvenue en Enfer

4 épisodes et quelques compléments

D 20 janvier 2022     A par Albert Gauvin - C 0 messages Version imprimable de cet article Version imprimable    ................... PARTAGER . facebook


Après une courte absence sur les ondes de France Culture, Adèle Van Reeth reprend « les chemins de la philosophie » avec une nouvelle série de quatre épisodes consacrés à La Divine comédie de Dante [1]. Cette semaine : L’Enfer.
Avec Pierre Bouretz, Danièle Robert, Carlo Ossola et Didier Ottaviani.

Les Chemins de la philosophie par Adèle Van Reeth, 17 au 20 janvier 2022.

Épisode 1 : “Vous qui entrez, laissez toute espérance”

Dans la "Divine Comédie", Dante est à la fois l’auteur et le narrateur. Il nous invite à le suivre dans son voyage "dantesque" de l’Enfer jusqu’au paradis. L’Enfer est-il un remède au déni ? Quelle est l’histoire de la "Divine Comédie", rédigée entre 1308-1309 et 1321, année de sa mort ?

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Au milieu du chemin de notre vie,
je me trouvais dans une forêt obscure.
Dessin de Gustave Doré, 1961.

L’invité du jour :

Pierre Bouretz, philosophe et directeur d’études à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales, travaille au Centre Etudes Sociologiques et Politiques Raymond Aron (CESPRA), et consacre un séminaire de recherche à l’EHESS cette année à Dante.

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La carte de l’Enfer par Botticelli, entre 1480 et 1490.
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Gravure de Gustave Doré 1861.

Texte lu par Bernard Gabay :

Dante, La Divine Comédie, L’Enfer, Chant I (vers 61-90), éditions GF, traduction Jacqueline Risset, page 13
Dante, La Divine Comédie, L’Enfer, Chant III (vers 1-18), éditions GF, traduction Jacqueline Risset, page 21

LIRE AUSSI : La Divine Comédie en Pléiade (traduction Jacqueline Risset)

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Vous qui entrez ici,
lissez toute espérance.

Sons diffusés :

Dante, La Divine Comédie, L’Enfer, Chant I (vers 1-12), version italienne, Palais des Papes à Avignon, France Culture, 21 juillet 2008
Chanson d’ACDC, Highway to Hell
Dante, La Divine Comédie, L’Enfer, Chant I (vers 1-12), éditions GF, traduction de Jacqueline Risset, page 11, lu par Georges Claisse
Archive de Giorgio Agamben, dans À voix nue, France Culture, 13 janvier 1998
Listz, Dante symphonie, S 109 Inferno Lento – Allegro, dir. François Xavier Roth
Extrait de Au-delà de nos rêves, film de Vincent Ward, 1998
Chanson de fin : Stromae, L’enfer

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Épisode 2 : Maudit soit l’amour !

Nous poursuivons notre voyage dans l’Enfer de Dante, et les portes s’ouvrent grandes... Pourquoi y rencontre-t-on des amoureux ? Quel crime ont-ils commis ? Est-on responsable de l’amour porté à autrui ? Ou victime d’une passion qui dépasse et dévore ?

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Paolo and Francesca, les amants maudits de l’Enfer,
illustration de Gustave Doré.

L’invité du jour :

Danièle Robert, écrivain, critique et traductrice littéraire, membre de la Société Dantesque de France, Danièle Robert a traduit La Divine Comédie aux éditions Actes Sud.

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Rodin, Paolo et Francesca, 1881-1882.
Musée Rodin. Photo A.G, 24-09-2016. Zoom : cliquez sur l’image.
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Textes lus par Bernard Gabay :

Dante Alighieri, La Divine Comédie, L’Enfer, Chant V (vers 1-15), traduction de Danièle Robert, éditions Actes Sud, page 77
Dante Alighieri, La Divine Comédie, L’Enfer, Chant V (vers 100-142), traduction de Danièle Robert, éditions Actes Sud, pages 85-87.


Rodin, Le Baiser, 1888-1898.
Le Baiser devait faire partie de la Porte de l’Enfer. Finalement, Rodin renoncera
à l’intégrer dans la composition d’ensemble et c’est isolément qu’il le présentera au public.
Musée Rodin, Paris. Photo A.G., 18 février 2011
Manet, <i>Lola de Valence</i>, 1862.
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Sons diffusés :

Extrait du film Sans plus attendre, de Rob Reiner, 2007
Chanson de Billie Eilish, All the good girls go to hell
Archive de Jacqueline Risset, dans Carnet nomade, France Culture, le 9 janvier 2011
Adèle van Reeth lit un extrait de La Divine Comédie, L’Enfer, Chant V
Archive de Philippe Sollers, dans Un homme, une ville, France Culture, le 23 août 1978 [2]
Musique de fin : Opéra Pelléas et Mélisande de Claude Debussy, extrait fin de l’acte IV, scène 4, direction Bernard Haitink, en mars 2000 au Théâtre des Champs Elysées.

VOIR : Danièle Robert sur Pileface, notamment Dante de nouveau : Enfer traduit par Danièle Robert et L’Enfer, chant V (traduction D. Robert).
ET AUSSI : Le péché sublime de Francesca et Paolo (par Jean-Louis Poirier), suivi de L’Enfer. Chant V (traduction J. Risset).
ET ENCORE : L’événement Lecture du Chant V de l’Enfer en 16 langues
Une journée en Enfer : Le Chant XXVIII de L’Enfer de Dante

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Épisode 3 : Mort d’avoir trop voulu connaître

Le voyage et la descente en Enfer se poursuivent... Quand Dante aperçoit soudain une flamme où se trouve Ulysse : que fait-il là ? Quel est son crime ? Quelles limites a-t-il franchies ? Et doit-on en imposer à la soif de connaissance sous peine de... finir en Enfer ?

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L’Enfer de Dante par Gustave Doré
Crédits : duncan1890 - Getty

L’invité du jour :

Carlo Ossola, professeur honoraire au Collège de France, chaire de "Littératures modernes de l’Europe néo latine”. Il nous parle essentiellement d’Ulysse que Dante met en enfer.

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Textes lus par Bernard Gabay :

Primo Levi, Si c’est un homme, chapitre 11, Le chant d’Ulysse, éditions Pocket, traduit de l’italien par Martine Schruoffeneger
Dante, La Divine Comédie, L’Enfer, chant XXVI, éditions la Pléiade, traduction de Jacqueline Risset, pages 205 et 207

Sons diffusés :

Extrait d’Inferno, film de Ron Howard, 2016
Extrait d’Au-delà de nos rêves, film de Vincent Ward, 1998
Adèle van Reeth lit un extrait de Dante, La Divine Comédie, L’Enfer, chant XVII
Musique de Modeste Moussorgski, Une nuit sur le mont chauve, chef d’orchestre : André Cluytens
Extrait du film Le Mépris, de Jean-Luc Godard, 1963
Musique de fin : Mozart, Don Giovanni, K 527, Acte II scène 15, chef d’orchestre : Jérémie Rhorer, interprètes : Jean-Sébastien Bou, Steven Humes, Robert Gleadow.

ÉCOUTER : Les entretiens avec Carlo Ossola dans La Divine Comédie en Pléiade (traduction Jacqueline Risset).
LIRE : Une journée en Enfer : Le Chant XXVIII de L’Enfer de Dante.

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William Blake, Ulysse (Enfer, chant XXVI), 1824.
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Silenzio (Le Mépris)

Vers la fin de l’émission on entend Fritz Lang citer Dante (« Vous n’avez pas été faits pour être [des brutes], mais pour connaître la science et la vertu ») et Michel Piccoli dire des vers de la fin du Chant XXVI de L’Enfer dans Le Mépris de Jean-Luc Godard (1963).

Le Mépris raconte l’histoire d’un écrivain qui a besoin d’argent Paul Javal (Michel Piccoli) contacté par un producteur américain Jérémy Prokosch (Jack Palance) afin d’écrire de nouvelles scènes, plus « modernes », plus commerciales, pour l’adaptation au cinéma de L’Odyssée d’Homère, confiée au réalisateur Fritz Lang (qui joue son propre rôle) et dont, dans le film, Godard est l’assistant. Dans Le Mépris, Lang cite souvent Homère, Dante, Hölderlin (« Ce n’est plus la présence, mais l’absence de Dieu qui rassure l’homme », La vocation du poète dont Hölderlin a modifié plusieurs fois la fin).
Paul Javal cède d’abord aux avances du producteur :

« Moi, je défends la théorie de Prokosch.
— Quelle théorie ? Que L’Odyssée est l’histoire d’un homme qui aime sa femme et elle ne l’aime pas. »

C’est sans doute le sujet du Mépris (longue scène-culte entre Paul/Piccoli et Camille/Brigite Bardot), mais certainement pas celui de L’Odyssée.
Le rapport entre Lang et le producteur américain est inévitablement conflictuel.

— Prokosch : You’ve cheated me, Fritz. That’s not what is in that script.
— Lang : It is.
— Prokosch : Get the script, Francesca (il lit) Yes, it’s in the script. But it’s not what you have on that screen.
— Lang : Naturally, because in the script it is written, and on the screen it’s pictures. Motion picture, it’s called.

Paul, finalement, se ravise. Vers la fin du film, il y a le dialogue suivant :

— Paul : Il (Fritz Lang) a raison. Ou on fait L’Odyssée d’Homère, ou on ne la fait pas.
— Francesca (traduisant les paroles de Prokosch) : Vous aspirez à un monde pareil à celui d’Homère. Malheureusement ça n’existe pas.
— Paul : Et pourquoi pas, si !
— Prokosh : No !
— Francesca : Vous avez peut-être raison, mais quand il s’agit de faire un film, les rêves ne suffisent pas.

Voici la séquence finale. Lang filme « le premier regard d’Ulysse quand il revoit sa patrie ».

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A propos de Dante et de L’Odyssée

Dans Le Coeur Absolu (1987), Philippe Sollers décrit une « société secrète fondée vers la fin du vingtième siècle à Venise. Ses membres : S., écrivain, scénariste, spécialiste d’Homère et de Dante. Liv, vingt-sept ans, comédienne. Sigrid, son amie, philosophe. Marco et Cecilia, deux jeunes musiciens. »

S. [3] a un projet de scénario pour une adaptation de la Comédie à la télévision japonaise.

— Mon idée, en somme, est un parallèle actualisé constant entre la Comédie et L’Odyssée.
— Et pas L’Énéide ?
— Non. J’aimerais bien faire sauter Virgile. Énée, après tout, n’est que le bâtard d’Aphrodite...
— On s’éloigne considérablement du texte ! dit Yoshito, sérieuse.
— Peut-être, mais c’est plus original. On gagne en ampleur. On compare deux navigations, deux retours. Patrie terrestre, patrie céleste...

Passons. Mais vous souvenez-vous de ce passage ?

— Je casse trois jugements de la Comédie, Mex. Le premier, bien sûr : Épicure. Le deuxième consiste à s’être débarrassé trop facilement d’Homère au profit de Virgile, cette plate contrefaçon latine. Je prends donc le parti Achéen contre le parti Troyen de la fondation de Rome. Vous vous rappelez qu’Ulysse est décrit par Dante comme s’envolant de chez Circé jusqu’à un naufrage en pleine mer en vue du Paradis terrestre… Du coup, tout le retour à Ithaque est éliminé, la question père-fils, la question Pénélope, le massacre légitime des prétendants, le rôle déterminant d’Athéna. Que Dante ait eu des reproches sanglants à faire à Gemma, sa femme, bien, mais là, quand même, il pousse le bouchon trop loin. Il faut attendre le XXe siècle pour assister à la « résurrection d’Homère », selon la belle expression de Bérard, un charmant Français, soit dit en passant. Avant, il est pris en otage, mythologisé, floué, dispersé, divisé, anonymisé, surtout par la philologie allemande… Vous me suivez ?
— Pfuitt ! fait la boule.
— Donc, le grec. On sort Épicure, Ulysse et Homère de l’Enfer, on les met au Paradis…
— Pfuitt ! Pfuitt !
— Le deuxième jugement à rectifier concerne évidemment Boniface VIII, Clément V et Philippe le Bel... La passion de Dante pour Henri VII l’égare... Le transfert momentané de la Papauté de Rome à Avignon l’aveugle... Or vous savez d’où est Clément V ? Bertrand de Got ? De Bordeaux. Donc, à l’époque, plutôt, d’Angleterre. C’est un pape franco-anglais. De plus, nous avons, au même moment, l’arrivée d’un théologien essentiel, Duns Scot, anglais lui aussi. Saint Thomas ou Duns Scot, vous voyez l’enjeu par la suite... J’en suis désolé pour l’Ordre du Temple, le Saint Empire Romain Germanique ou les Chevaliers Teutoniques, mais la position Papale et Française (avec l’Angleterre en arrière-plan, complètement absente de La Divine Comédie) me paraît lumineuse... Ajoutez à cela que l’Angleterre, précisément, avec Duns Scot, Montaigne et la Bible, va donner Shakespeare, un vrai Grec, celui-là !... Bon. Ai-je besoin de souligner que l’implication gibeline allemande, l’Empire, etc., nous conduit directement à Luther ? Et de Luther à Hitler ?... Nous voici donc à pieds joints de nos jours. D’autant plus que Dante, vous vous en souvenez, parle du « bon Titus »... Celui du sac de Jérusalem en 70 !... Voyons...
— Pfuitttt !
— Je me résume : réhabilitation solennelle d’Homère, d’Épicure et de Clément V (Concile de Vienne : « l’âme est la forme du corps »). Relativisation de l’opération saint Thomas-Aristote. Lumière crue jetée sur Béatrice comme écran d’illusion d’un « éternel féminin » (Bella, la mère de Dante, contre Gemma, sa femme). On fait sauter le verrou Virgilien, on prend le français et l’anglais en grec fondamental, on retrouve l’hébreu au passage, comme par hasard, on reprend deux mille ans, on y va en force... Maintenant, pour en revenir à L’Odyssée...
Je regarde sous la lampe... La boule a disparu... Mex me désavoue... Il ne veut plus écouter mes sacrilèges... Mon dernier lecteur est parti !... Assez !... Digressions, références culturelles incompréhensibles... Un roman !... Un vrai !... Vous aviez promis !... Silence... Désert... Tout le monde dort... Vous ne pouvez pas veiller un peu avec moi ?... Non ! Non ! Un roman ! L’action ! Les personnages ! L’intrigue ! Le crime !...
Mex, je chuchote... Mex ! Mex !... L’Odyssée !... Je vais vous dévoiler les vrais rapports d’Athéna et d’Ulysse !... Un scoop, Mex ! Pour la première fois dans l’histoire humaine !... Pour vous seul !... Vous ne pouvez pas manquer ça !... Rien... Silence... J’éteins... Je rallume... Rien. Je me lève, j’ouvre la fenêtre, la lune est là au-dessus de la ville grise... « Chaos des vivantes cités »... Où en étais­-je ?...

Philippe Sollers, Le Coeur Absolu, 1987, Folio 2013, p. 239 et 125-127.

Passons, passons. C’est une autre histoire, un autre voyage, une autre expérience intérieure, un autre retour (avec et sans Dante au Paradis)... qui n’ont pas encore été vraiment lus [4] :

« Il s’agit d’atteindre le sommo piacer, la pointe extrême du plaisir et du savoir (l’un prouvant l’autre). Vous qui n’avez pas envie de comprendre parce que vous ne jouissez pas, n’entrez pas. »

« L’ignorance militante dans laquelle est tenu le Paradis est stupéfiante. Dante, une fois pour toutes, doit incarner l’enfer, et encore l’enfer. »

Mais alors, pas de Paradis (celui-là toujours à venir) !

LIRE :
Ne plus ultra, Dante et le dernier voyage d’Ulysse
Dante au paradis
ÉCOUTER, VOIR :
Le Coeur Absolu
Monteverdi, Il ritorno d’Ulisse in patria

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Épisode 4 : Satan prisonnier des glaces

Savez-vous ce qui se trouve tout au fond de l’Enfer ? Des flammes ? Pire, bien pire : c’est la glace qui vous étreindra le corps et le coeur. Le froid... comme la perte de tout amour ?

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Illustration de La Divine Comédie par Gustave Doré.

L’invité du jour :

Didier Ottaviani, maître de conférences à l’Ecole normale supérieure de Lyon, spécialiste de pensée médiévale et plus particulièrement de Dante.

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Textes lus par Bernard Gabay :

Dante, La Divine Comédie, L’Enfer, chant XXXII, éditions la Pléiade, traduction de Jacqueline Risset, pages 249 et 251
Dante, La Divine Comédie, L’Enfer, chant XXXIV, éditions la Pléiade, traduction de Jacqueline Risset, page 267

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Botticelli, Les traîtres (ch. 32-35).

Sons diffusés :

Mix de début par Laurence Malonda avec un extrait de la série Game of Thrones  ; extrait du film Harry dans tous ses états, de Woody Allen (1997) ; chanson de Radiohead, Kid
Archive de Jacqueline Risset, 6 février 1993, dans Littérature pour tous, France Culture
Extrait du jeu vidéo Dante’s Inferno, 2010, Visceral Games
Adèle van Reeth lit un extrait de La Divine Comédie, L’Enfer, chant XXXII
Chanson des The Rolling Stones, Sympathy for the devil
Chanson de fin : Vanilla Ice, Ice ice ice baby

De Didier Ottaviani :
La Philosophie de la lumière chez Dante Du Convivio à la Divine comédie
Dante. L’esprit pélerin [5]

Crédit : France Culture

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La Divine Comédie de Dante illustrée

Il n’y a pas que Gustave Doré qui s’est intéressé à Dante et dont vous pouvez voir les dessins de l’Enfer sur le site de la BnF ou sur gallica dans la traduction française de Pier Angelo Fiorentino, accompagnée du texte italien (1861). Il y a aussi Botticelli (vers 1480-1495), William Blake (102 illustrations, des « tourments de l’enfer » à « la béatitude du paradis »), Rodin dans sa formidable Porte de l’Enfer, Salvador Dali (100 aquarelles de 1951 à 1960) et, plus récemment, Miquel Barceló (300 dessins entre 2000 et 2002).

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Botticelli, Enfer, chant XXXIV.
Satan et les traîtres aux bienfaiteurs.

La Divine Comédie de Dante illustrés par 92 dessins de Botticelli
Site avec les Illustrations de La Divine Comédie de Dante par Botticelli

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William Blake (1757-1827), Dante Alighieri (1800-1803)

William Blake et La Divine Comédie

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Rodin, Dante et Virgile aux enfers, vers 1880.

L’Enfer selon Rodin.
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La Porte de l’Enfer d’Auguste Rodin

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La Divine Comédie illustrée par Miquel Barceló.
Édité par Galaxia Gutenberg y Círculo De Lectores, 2008.
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Miquel Barceló dans son atelier à Paris, le 23 mars 2013.
Crédits : Martin Bureau - AFP
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L’Enfer illustré par Miquel Barceló.

L’Enfer de Dante illustré par Miquel Barceló (Actes Sud, 2021)


[1En octobre 2017, Adèle Van Reeth consacrait une première série de quatre émissions des « Chemins de la philosophie » à La Divine comédie : De l’enfer au paradis.

[2Sur L’Enfer et le Baptistère Saint Jean, voir aussi : Dante à Florence I (21 août 1978).

[3S. est également un des personnages de Femmes.

[4Une approche intéressante dans Sollers et Dante ou l’érudition paradisiaque dont vous pouvez lire quelques extraits ici.

[5L’article « compare l’usage que propose Ottaviani de la langue avec celui qu’en avait fait Sollers dans le célèbre article de 1965, Dante et la traversée de l’écriture ».

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