« Philippe Sollers a noté justement dans son Éloge de l’infini que le XXe siècle avait été aussi, au contraire d’une doxa non-misérabiliste, le théâtre d’oeuvres non-morbides, citant pêle-mêle Chaplin et Joyce, Picasso et Hemingway. Et bien sûr, au premier rang : Nabokov. » : revuedesdeuxmondes.fr.